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  Hommage à la Cinémathèque algérienne

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D’aucuns gardent en mémoire les deux grands rendez-vous consacrés au cinéma algérien en 1973, puis en 1977, dans la vénérable salle du Palais de Chaillot. Sous la forme d’un "Hommage à la Cinémathèque algérienne", avec l’aide de son infatigable directeur Boudjemaa Karèche, la Cinémathèque française a récidivé en accueillant une quinzaine de films, dont six nouveaux. Un programme soutenu par "Djazaïr 2003" qui a également apporté une aide financière aux six films.

En plus de Un rêve algérien de Jean-Pierre Lledo et Le Soleil assassiné d’Abdelkrim Bahloul, terminés depuis quelques mois, on a pu découvrir, en avant première, Viva Laldjérie, le second long-métrage de Nadir Moknèche.

On pouvait également y voir ou revoir Les Oliviers de la justice de James Blue (1962), d’après Jean Pélégri disparu récemment, Une si jeune paix de Jacques Charby (1964) ou Les Enfants du vent de Brahim Tsaki (1980). Le programme prévoyait en outre des documentaires dont Jean Sénac, le forgeron du soleil d’Ali Akika (2003) et Jean Pélégri alias Yahia el Hadj de Jean-Pierre Lledo (2001).



 12 - 16 novembre 2003, "Hommage à la Cinémathèque Algérienne", Cinémathèque française, salle du Palais de Chaillot, 7, avenue Albert de Mun, Paris 16e

 


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