Organisé par l’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP), l’Association des libraires d’Algérie (ASLIA), le Syndicat professionnel du livre (SPL), le Syndicat national des éditeurs de livres (SNEL), la SAFEX et l’Union des écrivains algérien (U.E.A), cette année sur le thème de "Revisiter la mémoire", le 10e Salon international du livre d’Alger (Sila) a accueilli quelques 400 éditeurs de 22 pays et la plupart des nationaux.
Au rayon animation, outre un colloque intitulé "La pensée politique algérienne 1830-1962" (25 et 26/09) et un café littéraire dédiée à la "Littérature au féminin", avec la participation notamment de Maïssa Bey, Zineb Laouedj, Malika Mokkadem, Ahlam Mosteghanemi et Christiane Chaulet-Achour (27), il y a été question de "L’écriture de l’histoire" (23), de "quelle place pour le livre dans les médias ?" (27), de "la traduction : problèmes et perspectives" (28), mais aussi d’Edward Saïd (23), Cervantès (24), Saint Augustin (24), Isabelle Eberhardt (25), Malek Bennabi (26), Si Mohand ou M’hand (27), Bachir El-Ibrahimi (28) et d’Albert Camus (29).
C’est enfin Maïssa Bey qui s’est vue décérner le Prix des Libraires 2005 pour Surtout ne te retourne pas, son dernier roman paru aux éditions de l’Aube.
– 21 - 30 septembre 2005, 10è Salon international du livre d’Alger (Sila), Pins Maritimes / Palais des Expositions